Depuis quelques mois le monde entier traverse une crise sanitaire dû au covid-19. De l’Afrique en Europe en passant par l’Asie et j’en passe presque tous les continents ont été touchés. Malheureusement, ce virus n’est pas sans conséquences, tant sanitaire que dans d’autres domaines comme l’économie, les finances, mais plus encore sur l’environnement. Pourtant dans tout ce désastre se passe quelque chose de bien. Il ne s’agit pas dans cet article de désigner un coupable. Non! Il s’agit plutôt t’attirer notre attention sur quelque chose qui semble banal mais qui pourrait tout changer!
A quelque chose malheur est bon!
Aussi surprenant que cela puisse paraître, la crise sanitaire du covid-19 a révélé quelque chose d’extraordinaire. Moins il y avait d’hommes dans un milieu mieux le milieu se portait. En effet, pour éviter la propagation du virus nombreux sont les pays qui ont opté pour le confinement. La population s’est vue obligée de rester chez elle. Mais pendant que l’homme n’avait temporairement plus le droit de mettre son pied dehors, dame nature en a profité pour faire le ménage.
Diminution de plus de 40% des gaz à effet de serre.
Bien que nous soyons conscients que cela est temporaire, nous pouvons trouver un brin de joie par ce temps de crise. En effet , des données scientifiques ont été prises depuis l’Espace par des satellites montrant une diminution sans pareille du Dioxyde d’Azote (NO2) , un gaz émis par les véhicules. Vous l’avez deviné cette diminution on le doit justement à l’arrêt des moyens de transport, à la fermeture des usines et j’en passe. Cela montre bien que l’Homme a bel et bien une influence plus que bénigne sur l’environnement. Cette situation a donnée l’occasion à la nature de souffler un tant soit peu.
La question de l’ecosystème!
Nous avons été un peu curieuse et nous nous sommes penché sur la cause du virus. Et cela a fait surgir une question : qu’en est-il de l’écosystème?
Les coronavirus sont d’origine animale. Une espèce (« réservoir ») héberge un virus sans être malade et le transmet à une autre espèce, qui le transmet ensuite à l’homme. Les deux réservoirs connus à ce jour sont là chauve-souris et le pangolin. Le Professeur Patrick Berche,professeur émérite de microbiologie de l’Université de Paris déclare :« On peut penser que la contamination humaine est survenue lors de la manipulation de ces mammifères dont on utilise les écailles dans la pharmacopée traditionnelle chinoise et dont on consomme la chair ». Il ajoute tout de même que cette hypothèse restait à vérifier. Par ailleurs, le pangolin est un petit mammifère à écaille, et une espèce en voie d’extinction. Cela amène à ce demander et si la cause de ce virus n’était juste pas un dysfonctionnement de l’écosystème. En effet, écosystème est un ensemble formé par une communauté d’êtres vivants en interrelation (biocénose) avec son environnement (biotope). Les composants de l’écosystème développent un dense réseau de dépendances, d’échanges d’énergie, d’information et de matière permettant le maintien et le développement de la vie. De part cette définition on peut dire que, que ce soit l’Homme ou les animaux, nous faisons tous chacun partie intégrante de l’écosystème. Du coup , s’il arrivait qu’un composant n’est plus à sa place cela peut causer un problème. Voyons les choses comme un puzzle. Chaque pièce à son importance. S’il en manque un cela se fera sentir. Donc partant du principe que dans l’écosystème l’espèce humaine fait partie intégrante des écosystèmes dans lesquels elle évolue. L’Association Française de Normalisation précise que, du point de vue humain, un écosystème est constitué « des êtres humains , de leur environnement physique, des plantes et des animaux» et que cet écosystème est dit durable si « ses composantes et leurs fonctions sont préservées». On comprend bien qu’il n’est pas question de prendre en compte l’un au détriment de l’autre. Ainsi l’hypothèse selon laquelle le fait que des chauves-souris ou des pangolins soient au menu, ce qui entraîne la disparition de ces espèces, a peut-être fragilisée ce système. Chose évidemment à vérifier.
Quoi que , il est logique de penser que chacun a un rôle à jouer pour le bien-être de notre planète. Si nous voulons une planète saine tant pour nous que pour les générations futures, nous devons agir. C’est à nous de sauver la planète en étant plus écolo. Être une amazone c’est également prendre conscience de notre part de responsabilité. C’est montrer l’exemple pour un éveil d’esprit. Cela commence par les gestes les plus élémentaires. Commençons déjà par le plus facile. Évitez de jeter les sachets partout. Privilégiez les poubelles. Une ville propre. Un monde propre.
Voilà nous vous promettons de faire pareil. Nous sommes à la fin de notre article. Nous espérons qu’il vous a plu. Bon week-end!
Agoodojié!